(Imagem da net)
Há coisas que, apesar dos anos que já vivi, nunca irei
conseguir entender, ainda que fosse possível viver outros tantos.
Hoje de manhã ouvi na TSF o “Socialista” e ex-Primeiro
Ministro Francês, Manuel Valls, dizer sem rodeios: “O Partido Socialista (Francês)
está morto”, para justificar a sua adesão ao movimento criado pelo recém eleito
Presidente da França Emmanuel Macron.
Ora um canalha destes que, enquanto Primeiro Ministro tudo fez,
politica, social e economicamente, para destruir por dentro o PSF, tem agora a distinta
lata de vir a público fazer uma afirmação destas.
São “políticos” como este, de que também temos por cá alguns
exemplares, que fizeram com que Marine Le Pen tivesse mais de 1/3 dos votos dos
Franceses.
É deveras confrangedor, constatar que este tipo de "politicos" e o Povo
que neles vota, aprenderam zero com a História.
Não esquecer o Hollande que lhe deu vida !
ResponderEliminarCerto. Não o referi, mas é implícito. Foi o Hollande que o nomeou PM.
EliminarO que até teria graça, se não fosse muito grave, é a DIREITA LIBERAL dos mercados desregulados praticante do CAPITALISMO SELVAGEM especulador e usurário, estar a ficar mais preocupada ....(com medo!) com a EXTREMA DIRETA do que com a extrema ESQUERDA. Têm um sentimento que as esquerdas já estão praticamente ORGANISADAS...controladas! Enquanto as SURGENTES inorgânicas EXTREMAS DIREITAS "anti-partidos"...aí controla-se o quê e como???Começa a ser esta a grande preocupação da liberal DIREITA e dos seus "mercados". A CRIATURA A superar O CRIADOR!
ResponderEliminarBoa análise. De facto, não deixa de ser caricato que a direita que aqui nos trouxe, esteja agora com medo de ser ultrapassada pela direita.
EliminarSão pessoas como ele que explicam o resultado desastroso das forças políticas mais tradicionais.
ResponderEliminarE não é só em França.
Aquele abraço
Pois, vamos aguardar expectantes o que se irá passar na Alemanha.
EliminarAbraço.
Corvo Negro
ResponderEliminar10 DE MAIO DE 2017 ÀS 11:33
Subscrevo, Joaquim Camacho.
Para além do jeito infantil da tua argumentação, o que é pior? Ser chamado de canalha e trafulha por um cobarde ou ser apenas um cobarde como tu, ó Corvo Negro?
Em França vão existir novos movimentos. Benoît Hamon vai fazer um dentro do PS, espécie de ala esquerda, uma vez que as suas propostas foram parar ao lixo; entretanto, um grupo de dirigentes socialistas escreveu no diário Le Monde um manifesto intitulado Dès Demain (A partir de amanhã), de cunho europeísta enquanto Manuel Valls, o ex-primeiro-ministro socialista derrotado nas primárias que se ofereceu despudoradamente a Macron, pode ser expulso; Mélenchon candidata-se contra o PS e tem problemas com o PCF, e Macron organiza o seu République En Marche. Sim as eleições do mês que vem prometem muito.
EliminarToma lá, a prosa é do Henrique Monteiro hoje na newsletter do Expresso mas serve para te educar.
Idem, deixei-o algures mas este naco de prosa tem dois dias e é meu (e é na verdade mais jeitoso do que o teu histerismo, confessa).
EliminarOs partidos não são eternos, mas até custa ouvir as gabarolices deste catalão facho:«- E fui eu quem o matou!» Enfim, não sei se é uma boa opção do Macron (nem se o "cartão de visita" do Manuel Valls é recomendável, o que é um pormenor gigante), e, se precisar, não sei também com quem é que o partido do novo PR vai dialogar durante e depois das eleições legislativas com rudes tiradas desta natureza. Durante, se um putativo candidato a deputado do En Marche! passar à segunda volta numa determinada circunscrição onde terá necessidade de cativar votos aos "outros" (a esquerda está ou far-se-á de "morta" justamente, com ou sem obituário). No fim, ganhem ou não os Macronistas a nível nacional, se das eleições resultar um parlamento fragmentado e sem uma maioria clara vai... hablar com quem?
Vá, toma lá que eu hoje estou bem disposto. Ontem, hoje e amanhã não sei mas como vês ainda há gente para te educar.
Eliminar_____
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« Dès demain », un nouveau mouvement politique pro-européen et citoyen
Comme un certain nombre de grandes démocraties dans le monde, l’Europe et
la France sont menacées par le face-à-face entre ceux qui prônent
la dérégulation et ceux qui misent sur la démagogie pour renverser la table. Elus et citoyens
européens engagés, nous croyons
qu’un autre avenir est possible et
qu’il s’invente déjà, dans la fidé-
lité à nos idéaux, au cœur de nos
territoires ; nous croyons que la
société est capable de donner
naissance à une vision nouvelle
et à un projet commun ; nous
croyons qu’elle seule peut faire
émerger le sens qui rassemble et
permet de mieux vivre ensemble.
Nous assumons et nous revendiquons la révolution pacifique
parce que démocratique, au
terme de laquelle ce sont les citoyens engagés qui relèveront à
la fois localement et globalement
les grands défis auxquels est confrontée l’humanité. Cette ré-
ponse en actes à la fatalité ambiante, ils l’apportent déjà partout en Europe, aussi bien au centre des grandes villes que dans
les quartiers populaires et au
cœur du monde rural.
Il s’agit donc de libérer notre
avenir français et européen de la
catastrophe environnementale,
de la casse sociale, de la faillite
démocratique, de l’abandon des
valeurs républicaines, ces quatre
fatalités n’en formant qu’une
contre laquelle nous luttons en
faisant émerger en permanence
des réponses nouvelles. Ces ré-
ponses sont aussi réelles et vivantes que les sociétés qui les
découvrent. Et notre rôle consiste à leur donner du champ, des
moyens, de l’ampleur.
Le premier de ces défis a trait au
changement climatique, qui menace la nature comme la culture,
l’inné comme l’acquis, ce que
nous avons reçu comme ce que
nous avons construit. Relever ce
défi, pour l’humanité, c’est donc
d’abord et avant tout survivre.
Mais c’est également vivre mieux,
en se donnant un avenir à la hauteur de ses possibilités. Nous
sommes persuadés que la véritable écologie est politique, sociale,
économique et culturelle. Nous
savons qu’elle se joue à l’échelle
européenne. Nous croyons qu’elle
constitue une chance pour l’économie parce qu’elle sait être innovante. Nous sommes certains
qu’elle contribuera à la création
de très nombreux emplois.
Le deuxième défi auquel notre
société est confrontée est celui de
l’inclusion, de la lutte contre les
inégalités et des mutations du travail. Parce que nous vivons et
œuvrons au cœur de territoires
où se côtoient les gagnants et les
perdants de la mondialisation,
nous nous évertuons à donner à
chacun sa place et sa chance, pour
faire progresser la concorde dont
notre démocratie a besoin. Nous
croyons que la démocratie est sociale, sous peine de ne pas être, et
que sa crédibilité repose avant
tout sur sa capacité à redistribuer
et à incarner concrètement les valeurs qu’elle porte. En nous battant pour que la République ne
soit lettre morte pour personne,
nous n’oublions pas que les exigences les plus radicales ne peuvent trouver à se réaliser pleinement que par des voies modérées,
respectueuses de la complexité
des sociétés qu’elles traversent.
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EliminarRADICALITÉ CONCRÈTE
Cette radicalité concrète au cœur
de l’action locale, nous la rencontrons tous les jours chez nos concitoyens – et nous misons sur elle
pour relever avec eux le troisième grand défi de notre temps
qui est celui de la démocratie. Les
citoyens sont donc aujourd’hui
notre première source d’énergie :
une énergie renouvelable qui ne
cesse d’investir le champ du quotidien ; une énergie propre qui
contraint tous les pouvoirs en
place à se réinventer ; une énergie positive qui veut bâtir et non
détruire, unifier et non diviser,
progresser et non regretter
au sein d’une Europe en construction permanente.
Le quatrième grand défi, c’est la
défense quotidienne des valeurs
qui nous permettent de bien vivre ensemble : les fondamentaux
d’une République sociale et laï-
que au sein de laquelle l’éducation, la recherche, la culture savent redonner du sens à notre vie
commune, et nous prémunir des
ravages de l’extrémisme, du racisme et de l’antisémitisme, du
sexisme et de l’homophobie.
3/3
ResponderEliminarCROIRE EN L’ACTION
Aujourd’hui, plus que jamais, le
moment est venu de nous émanciper des vieux carcans d’hier et
des débats strictement internes
aux appareils politiques pour
créer un mouvement, dont le rôle
sera d’identifier les solutions et
les réussites locales, et de travailler à leur mise en œuvre à toutes les échelles de territoires : locale, nationale et européenne.
Nous savons, pour en faire tous
les jours l’expérience, qu’une pensée globale ne trouve à se réaliser
efficacement qu’au travers d’une
action locale. Mais nous croyons
également en la force d’une pensée locale pour donner naissance
à une action globale, dès lors
qu’un mouvement authentiquement politique se donne pour tâ-
che de fédérer les initiatives citoyennes au service d’un projet
de société français et européen.
C’est à ce sursaut que nous appelons nos concitoyens en lançant
avec eux un grand mouvement
d’innovation pour une démocratie européenne, écologique et sociale, intitulé « dès demain ».
Ce mouvement est ouvert à tous
les humanistes qui croient encore
en l’action, à tous les démocrates
prêts à s’engager pour la justice
sociale, à tous les républicains qui
aiment et revendiquent leur devise. Il s’adresse à tous ceux qui
osent croire et dire qu’un autre
avenir est possible : un avenir qui
passe par de vraies alternatives,
par notre expérience locale et universelle de la démocratie. Un avenir à construire ensemble pour
que demain nous appartienne !
Le Monde, 11.5.2017, p. 21
Les premiers signataires
de cette tribune sont
Yann-Arthus Bertrand
(président de la Fondation
GoodPlanet), Patrick
Doutreligne (président
de l’Union nationale
interfédérale des œuvres et
organismes privés sanitaires
et sociaux), Anne Hidalgo
(maire de Paris, PS), Christiane Taubira (ancienne
garde des sceaux, DVG).
Sont également signataires de ce texte : Christophe Alévêque (humoriste
et chroniqueur), Martine
Aubry (maire de Lille, PS),
Vanik Berberian (président
de l’Association des maires
ruraux de France, sans étiquette), François Bonneau
(président du conseil régional Centre-Val de Loire, PS),
Luc Carvounas (sénateur
du Val-de-Marne, PS),
Karima Delli (députée
européenne, EELV), Cynthia
Fleury (philosophe et
psychanalyste), Nicolas
Hazard (entrepreneur, fondateur et président du Comptoir de l’innovation, de Calso
et d’ INCO), André Laignel
(premier vice-président délé-
gué de l’Association des maires de France, PS), Dominique Méda (philosophe
et sociologue), Stéphane
Troussel (président
du conseil départemental
de Seine-Saint-Denis, PS).
Retrouvez la liste
complète des signataires
sur Lemonde.fr
et sur Desdemain.fr
aeiou;
EliminarPodes estrebuchar de raiva (a exemplo do que fazes no Aspirina B), porque aqui o latido dos cães não empata a caravana. Já tenho neve suficiente na serra para poder dar aos teus rústicos comentários apenas a importância que eu quiser, ainda assim detive-me no conselho de ser educado pelo Henrique Monteiro. Essa teve piada, é o mesmo que eu te recomendar o João Galamba para Mestre. Pensa nisso. O que não teve piada foi não teres percebido que eu comentei sobre o Valls e não sobre o Macron, tinhas evitado tanto arrazoado em Francês. O Macron é um mal menor, enquanto que o Valls é um mal maior.
Bem, cada qual faz a figura de burro que quer.
ResponderEliminarDeixa-me educar-te, uma vez mais. A importância desse manifesto é que o PS francês reagiu internamente (porque se poderia prever uma sangria de quadros tanto para os campos indefinidos do Macron como até para o do Mélenchon e este é que era o ponto, ó bronco!). Ora, através da institucionalização de uma corrente interna do Benoît Hamon e deste importante manifesto onde está uma parte importante dos dirigentes do PS gauchiste (Hidalgo, Taubira e Aubry, Cynthia
Fleury das páginas do Libération, só mulheres!, as/os mais conhecidas/os por cá) percebeu-se imediatamente que o Manuel Valls passou por ganancioso porque até os gajos do Macron lhe deram um pontapé, quase de imediato, e não o quiseram como seu candidato a deputado sequer (há uma nuance de não apresentarem candidato, o que é uma bronquinha na mesma). Ou seja, embora noutro plano ele ainda conseguiu ser menos bronco do que tu...
Ó bronco, em tempo. E no período pré-eleitoral, quando o Valls apoiou logo na primeira volta o Macron abrindo a porta da saída, especulou-se bastante se seria ele o PM macronista ou se o poderia influenciar. Ora, nada disto se verificou...
EliminarAprendeste alguma coisa desta vez, ó burro?
Eliminar[Vá, ler um livro.]